Nicolas BRUSSON (promo 2000) a été profondément marqué par la culture de la prise de risque à l'américaine / Les Échos
En 2006, Nicolas cofondait BlaBlaCar avec Frédéric Mazzella et Francis Nappez Caulliez. Une invention qui a vu le jour trop tôt, estime l'actuel Directeur général. « C'était avant l'iPhone, avant Airbnb… Les gens nous disaient "mais vous êtes malades, c'est de l'auto-stop en ligne, ça va jamais marcher"», raconte Nicolas Brusson.
Dix-neuf ans plus tard, la start-up française du covoiturage est devenue adulte et dit avoir atteint la rentabilité. En 2023, BlaBlaCar a réalisé 253 millions d'euros de chiffre d'affaires, en hausse de 29 % sur un an. Mais cette réussite ne s'est pas faite en un jour." (Les Echos sur LinkedIn)
✍️ Un décryptage signé Sarah Dumeau du 26/08/2025
Nicolas BRUSSON (promo 2000) a été profondément marqué par la culture de la prise de risque à l'américaine / Les Échos
2025-08-26 17:14:00
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2025-08-26 17:27:17
2025-08-26 17:18:09
Christine CHANTELOUP
LIRE L'ARTICLE (réservé aux abonnés Les Échos)En 2006, Nicolas cofondait BlaBlaCar avec Frédéric Mazzella et Francis Nappez Caulliez. Une invention qui a vu le jour trop tôt, estime l'actuel Directeur général. « C'était avant l'iPhone, avant Airbnb… Les gens nous disaient "mais vous êtes malades, c'est de l'auto-stop en ligne, ça va jamais marcher"», raconte Nicolas Brusson.Dix-neuf ans plus tard, la start-up française du covoiturage est devenue adulte et dit avoir atteint la rentabilité. En 2023, BlaBlaCar a réalisé 253 millions d'euros de chiffre d'affaires, en hausse de 29 % sur un an. Mais cette réussite ne s'est pas faite en un jour." (Les Echos sur LinkedIn)✍️ Un décryptage signé Sarah Dumeau du 26/08/2025
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